Ma pauvre minette Kéké nous à quitté,
Elle a suivi mon Vasa la semaine d’après,
J'ai eu beaucoup de mal à l'accepter,
Mais pour Elle, il était temps de s'en aller.
Ma pauvre Kéké, je dis,
Car bien trop souvent incomprise,
De son vraie nom Coquine,
Née muette, personne ne la choisi.
Elle à vécu chez nous 10 années,
Nous faisant des petits "Kés-kés" rigolos pour communiquer,
En peu de temps, on avaient fini par la surnommer Kéké.
Mais aujourd'hui , en entends plus de Kés-kés...
Pas née sous une bonne étoile, ma fifille,
Elle est souvent rentrée blessée,et même gravement,
Maintenant plus personne ne lui fera du mal,
Elle reste dans mon cœur, que repose son âme ou que débute sa nouvelle existence...
Moi je gardes en mémoire de beaux instants avec elle,
Elle était un mignon bébé puis une effrontée adolescente, mais aussi, une formidable maman, que se soit avec ses petits ou ceux qu'on lui confiait et qu'elle adoptait sans conditions...
Puisse l’après-vie reconnaître les méritants et juger les malfaisants.
Tu ne pouvais pas parler
RépondreSupprimerTu ne pouvais pas miauler
Tu es arrivée
Lisakan t’a appelée Kéké
Tu étais une bonne maman
Tu étais MA maman
Tu es partie tout là-haut
Rejoindre les copains d’en haut
On ne s’est pas dit au revoir
Mais je sais qu’on pourra se revoir
Un chat a sept vies
Alors depuis ton départ je prie
Afin que tes parents d’adoption
Qui t’aimaient tant
Que mes oncles, mes tantes et mes sœurs
Trouvent la paix dans leur cœur
C’est toi qui m’as mis au monde
C’est toi qui n’as pas hésité une seconde
C’est toi qui as dit oui à ma Cathy
Et qui n’a pas pleuré quand de chez toi je suis parti
Tu t’es envolée vers Vasa et Lilith ma sœur
A trois vous aurez moins peur
Nous attendrons ce signe de toujours
Vous savez ces roulements de tambour
Lorsque le ciel est à l’orage
Et que nous regardons ces gros nuages
Nous saurons alors que vous êtes arrivés
Tout là-haut pour l’éternité
Pivoine
Ton bébé
Brave petite Kéké. Je ne te dirai jamais assez merci de m'avoir donné ton bébé. Pivoine est un ange, mon ange blanc que tu m'as laissé prendre sans protester. Je l'ai aimé dès la première seconde où je l'ai vu. Je t'ai aimée toi qui me regardais avec tes beaux yeux de maman. On s'est comprise du premier regard et tu m'as fait confiance lorsque je t'ai dit que ton bébé serait bien chez moi. A présent tu es tout là-haut avec tous nos chers disparus et tu peux voir tout ce qui se passe ici bas. Je ne te demanderai qu'une seule chose petite Kéké : fais un signe à Lisakan. Ton absence lui est douloureuse et cela la comblera de bonheur. Elle seule reconnaitra ce signe et si Lilith pouvait se joindre à toi pour faire ce signe, alors ce serait merveilleux.
RépondreSupprimerNous ne t'oublierons jamais gentille Kéké.
Je ne t'oublierai jamais, toi qui m'a donné Pivoine.
Merci Kéké
Je t'aime
Cathy
Brave petite Kéké, que que j'ai eu le bonheur de rencontrer !
RépondreSupprimerTu étais une bien tendre et jolie maman : je ne t'oublierais pas.
Soit enfin en paix, après les affres d'ici bas.
Douce pensée à ta "maman" Lisakan........qui t'a donné tant et tant
La mort n’est rien,
RépondreSupprimerJe suis seulement passé, dans la pièce à côté.
Je suis moi. Vous êtes vous.
Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours.
Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné,
Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait.
N’employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison
Comme il l’a toujours été,
Sans emphase d’aucune sorte,
sans une trace d’ombre.
La vie signifie tout ce qu’elle a toujours été.
Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de vos pensées,
Simplement parce que je suis hors de votre vue ?
Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin.
Vous voyez, tout est bien.
Henri Scoot Holland
Je suis de tout coeur avec toi Lisakan ...
Pour Kéké
RépondreSupprimerTu dois être heureuse et malheureuse à la fois....
Deux de tes filles sont près de toi....
Tu aurais sans doute préféré qu'elles vivent plus longtemps, elles étaient à peine à l'aube de leur existence.
Mais tu sais bien que sur cette terre rien n'est simple, rien n'est juste....
Tes deux filles sont à tes côtés et près de tous nos copains d'en haut....
Plus rien ne peut leur arriver
Prends bien soin s'il te plait de ceux qui restent ici en bas
Fais que rien de grave ne leur arrive.
Je sais, on ne peut rien contre le destin.... mais peut-être pourras tu veiller sur tes deux enfants qui se languissent de toi et qui ne t'oublient pas.
Tu as su être une merveilleuse maman et un jour tes petits seront tous auprès de toi, mais s'il te plait.... pas maintenant.....
Merci Kéké